Frais de santé : quand l’endettement oblige à choisir entre sa santé et ses dettes
- Concilys
- 21 mai
- 2 min de lecture
En France, accéder aux soins est un droit, mais pour de plus en plus de ménages modestes et de personnes fichées FICP, c’est devenu un parcours d’arbitrages douloureux. Devoir choisir entre payer une mensualité de crédit ou soigner une dent, consulter un spécialiste ou acheter des lunettes à ses enfants : une réalité que Concilys rencontre tous les jours.
Dans cet article, nous faisons le point sur ce phénomène silencieux, avec des chiffres récents, des sources fiables, et les solutions que Concilys peut proposer pour restaurer l’accès aux soins sans précariser davantage.
📊 Des chiffres alarmants sur le renoncement aux soins
Selon la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), 26 % des Français déclaraient avoir déjà renoncé à des soins pour raisons financières en 2021. Ce taux monte à 40 % chez les ménages précaires.🔗 https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/publications/etudes-et-resultats/
Une étude Harris Interactive pour la Fondation Jean-Jaurès (2022) révélait que 1 Français sur 3 avait dû reporter ou annuler un soin important pour des raisons budgétaires.🔗 https://jean-jaures.org/publication/sante-publique-les-renoncements-aux-soins/
En 2023, la Mutualité Française estimait que les frais non remboursés (optique, dentaire, audioprothèses) représentaient plus de 15 % du budget santé moyen d’un foyer.🔗 https://www.mutualite.fr/actualites/les-francais-et-les-depenses-de-sante/
Et ce sont les personnes en recouvrement, interdites bancaires ou fichées FICP qui souffrent le plus de cette pression financière.
🔄 Quand le crédit empêche de se soigner
Beaucoup de ménages accompagnés par Concilys sont dans une situation de tension financière extrême. Les priorités deviennent :
payer le crédit immobilier ou éviter une saisie,
régler les relances de créanciers,
gérer un fichage FICP ou une saisie sur salaire,
...au détriment de la santé, du suivi médical, voire des soins pour les enfants.
C’est un engrenage dangereux :
une carie non soignée devient un abcès, un mal de dos devient une invalidité,
des lunettes mal adaptées nuisent à la scolarité des enfants,
des soins repoussés provoquent anxiété, fatigue et isolement.
❌ Une couverture sociale insuffisante pour les plus fragiles
Le reste à charge moyen, même après Sécurité sociale et complémentaire, reste élevé pour les soins dentaires, l’optique, la psychiatrie ou les spécialistes.
Le dispositif 100 % Santé, bien qu’utile, ne couvre pas tous les cas, et reste souvent mal connu des publics en difficulté.🔗 https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/
Les délais de rendez-vous dans le public incitent certains à renoncer purement et simplement.
🧩 Que peut faire Concilys ?
Concilys ne remplace pas la Sécurité sociale. Mais nous pouvons :
✅ Identifier les leviers de désendettement (gel des créances, plan de redressement, vente solidaire)
✅ Proposer des solutions concrètes pour stopper le recouvrement
✅ Protéger les ressources vitales, comme le minimum vital ou les allocations familiales
✅ Alléger la pression financière, pour libérer un espace budgétaire dédié à la santé
Nous intégrons cette problématique dans notre analyse budgétaire initiale, car la santé ne doit jamais passer après les dettes.
📣 Conclusion : pour ne plus avoir à choisir entre ses soins et ses dettes
Vous êtes fiché FICP, sous pression financière, et devez arbitrer entre vos remboursements et votre santé ? Vous n’êtes pas seul.
🎯 Chez Concilys, nous pensons qu’aucun plan budgétaire n’est soutenable s’il détruit votre santé ou celle de vos enfants.
📲 Prenez rendez-vous gratuitement pour faire un point complet sur votre situation. Ensemble, on peut réorganiser vos finances sans renoncer à l’essentiel.
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